Bitcoin a dépassé la barre des 27 000 $ pour la première fois en neuf mois et a accumulé une augmentation de 35 % au cours des sept derniers jours. Les actions, en revanche, ont connu une journée rouge avec l’indice Dow Jones chute de 1 %, tandis que les actions du gaz ont chuté de 5 % et le pétrole de 1,5 %.
Le Credit Suisse a enregistré une baisse plus importante de 7% malgré les garanties de la banque centrale suisse d’un prêt de 50 milliards de dollars.
La Première République également, une autre banque fragile, a connu une baisse beaucoup plus importante de 26 % par jour après que les grandes banques ont déposé 30 milliards de dollars pour rassurer le secteur.
Pendant ce temps, le marché est en proie à l’incertitude, principalement en raison d’un manque de transparence concernant exactement ce qui se passe avec les banques.
Ainsi, les matières premières comme l’or connaissent une hausse de 2,5 %, tandis que les obligations sont en baisse à 3,4 % sur des rendements d’environ 4 % en février.
Le bitcoin a rejoint le « parti » des actifs sûrs, la crypto-monnaie étant désormais de retour dans une oasis de tranquillité solide et sécurisée, contrairement à l’année dernière.
Le marché baissier s’est terminé soudainement, punissant les téméraires assez pour les ramener dans de l’argent dur, où vous ne pouvez pas réserver de manière fractionnée sans jouer avec le feu.
Ainsi, FTX, Luna et tout ce qui a affecté le marché en 2022 sont devenus une chose du passé, le bitcoin voyant potentiellement un rallye parabolique.
Il y a presque exactement quatre ans, le bitcoin est passé de 4 000 dollars en avril à 16 000 dollars en juin 2019, apparemment déclenché par une blague du poisson d’avril sur le site Web Trustnodes.
Si cela se répète dans ce cycle haussier actuel, le bitcoin pourrait atteindre 50 000 $, et la macro est assez mûre pour cela, mais elle rencontre d’abord une certaine résistance à 28 000 $.
Cependant, la force de cette résistance dépend de la vitesse à laquelle le bitcoin veut se déplacer, car la cassure à 25 000 $ a peut-être effacé une partie de la résistance de 28 000 $ pour donner un peu plus de résistance à la résistance de 32 000 $. .
Tout cela cependant, potentiellement parce que le bitcoin fera ce qu’il veut, mais la crypto-monnaie est au moins narrativement redevenue un actif sûr et bien plus qu’elle ne l’a été depuis près d’une décennie.
Parce que dix ans après les coupes de cheveux à Chypre, un public beaucoup plus large peut désormais voir de visu et comparer l’ancienne banque papier et la nouvelle banque numérique basée sur des codes.
Bien sûr, nous avons également eu des effondrements ici l’année dernière, mais c’est pourquoi nous avons construit DeFI, où il n’y a pas eu d’effondrements – à l’exception des revers habituels de petits projets ou de sommes indécises.
Certains, cependant, voulaient jouer ce DeFis sur des entités centralisées, et nous pouvons tous choisir, c’est donc leur problème.
Cependant, nous pourrions voir ces entités centrées sur la blockchain publique. Il n’y avait pas de véritable incertitude, donc avec quelque chose comme FTX, par exemple, tout ce que vous aviez besoin de savoir en ce qui concerne le marché était connu en 48 à peut-être 72 heures, y compris jusqu’où la contagion pouvait aller, qui était affecté, quoi sont les valeurs et fondamentalement tout.
La seule question était de savoir si les autorités agiraient pour envoyer Sam Bankman-Fried, PDG de FTX, en prison parce qu’il n’était pas sur la blockchain. Ils l’ont, par hasard, envoyé au tribunal.
Dans le système papier, en revanche, le système bancaire, ce même type d’informations se trouve dans des documents confidentiels et des rapports avec les régulateurs et même ceux-ci ne sont qu’une partie de l’image.
Nous devons donc croire que les banques elles-mêmes disent la vérité et que les régulateurs le sont également, et nous essayons simplement d’analyser des actes particuliers, comme les grandes banques qui déposent dans des banques plus petites.
Si cela ne montre pas le code de l’argent, sinon l’avenir, alors c’est et ce sera une partie importante de celui-ci, alors allez construire une évasion de l’âge de pierre dans le métaverse parce que c’est là que vous appartenez.
Le système bancaire, cependant, a actuellement son rôle, et un rôle très important. De plus, comme le montre l’exemple d’il y a quatre ans, l’action actuelle des prix n’a peut-être fondamentalement rien à voir avec ce système bancaire.
Certains voient les deux en concurrence, nous les voyons plus comme l’un mettant à niveau l’autre car la cryptographie est globalement un système hybride où vous avez l’actif au porteur mais aussi des entités bancaires ou des intermédiaires de confiance opérant sur les rails très transparents de la blockchain.
C’est une nouvelle façon de limiter la confiance nécessaire et dont on peut abuser, de limiter l’incertitude qui en elle-même peut être très nocive.
Une telle nouvelle forme de connaissance, la connaissance financière, qui se traduit par une nouvelle forme de pouvoir pour l’homme.
Ces problèmes bancaires, donc, en ce qui concerne les cryptos, sont plutôt le rétablissement de certains faits.
Étant donné que la crypto-monnaie n’est pas précaire, pas plus que d’autres actifs dans tous les cas, y compris le fiat, et que la crypto-monnaie n’est pas uniquement volatile, comme nous l’avons vu avec les obligations « sûres » et ce qui devient le stock de mèmes bancaires.
Beaucoup de gens dans la finance savaient déjà tout cela, bien sûr, c’est pourquoi beaucoup de jeunes banquiers ont rejoint cet espace, mais le grand public pourrait aussi apprendre maintenant, certainement toute personne avec plus de 250 000 $ qui a besoin de le déposer . quelque part, vous penseriez de toute façon.
Et donc le bitcoin est de retour, comme un train. Il a laissé une autre saison de 25 000 $, bien que personne ne sache s’il reviendra.